Un jour comme les autres...

Le soleil disparaissait lentement à l’horizon, embrasant ainsi le ciel de mille feus.

Un voyageur arpentait le sentier à la poursuite des senteurs alléchantes qui imprégnaient l’air. Celles-ci semblaient venir de la petite demeure au bout du chemin.

Une silhouette au ventre rond s’affairait en cuisine. Elle chantonnait et regardait par la fenêtre.

Quand elle vit le voyageur s’approcher son visage s’illumina ! Elle abandonna ses pâtisseries et couru tant bien que mal, dans ses bras.

Ils s’embrassèrent longuement puis entrèrent dans la maisonnette, main dans la main.

Nombre de messages : 51 Age : 33 Date d'inscription : 15/03/2008

Le voyageur, après avoir prit sa cuisinière dans ses bras, entra dans la lumineuse maisonnette.

Jetant un oeil sur les pâtisseries, sa langue parcouru le contour de ses lèvres. La féline avait stoppé de prendre du poids, son ventre extrêmement tendu penchait vers l'avant.

Sa silhouette était sublime...

Il parcouru la maisonnette dans sa largeur pour déposer ses affaires dans leur chambre.

La nuit allait bientôt tomber. Le félin se mit à ses occupations avant de dîner, il préparait la chambre des marmots.

Un jour comme les autres... Peluchedemoutonbleubymiam0

Les couleurs et accessoires avaient été choisis par la féline, qui avait de merveilleux goûts.

Elle s’épuisait vite. Les pâtisseries mises au four, elle alla dehors aux pieds de l’arbre qui avait été le témoin de leurs premières histoires.[/i]

Confortablement installée, son instrument fétiche à la main elle fit s’élever une douce mélodie dans les airs. Les feuilles frémissaient, de doux souvenirs lui revinrent à l’esprit...[/i]

C’était plusieurs semaines plus tôt, le jour où le charme avait opéré entre les deux félins alors que rien ne semblait les prédestiner l’un à l’autre !

Cette nuit là, la lune arborait un grand sourire, les étoiles scintillaient et quelques créatures de la nuit chantaient doucement. Ils étaient seuls au bord du lac. Sans un mot il l’entraîna en haut d’un arbre, elle le suivit guidée par une attirance indescriptible.

Cette nuit là… ce fut merveilleux !

La chatoune avait un regard songeur… Elle s’arrêta de jouer et rêvassa.

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Sortant de la chambre, le félin chercha sa dulcinée du regard. S'avançant vers la fenêtre, il l'aperçut au pied de l'arbre ... l'arbre ... Tant de bons souvenirs passés autour ces dernières nuits.

Il sortit, le pinceau encore à la main, puis vînt s'asseoir à ses côtés. Sur l'arbre étaient gravées bien des choses. Chaque marques qu'avait subit l'écorce l'envoûtaient de souvenirs jouissifs.

Repassant de son pinceau ses gravures, le félin se laissa emporter ....

"Cette nuit, je me rappelle encore de la Lune, si magnifique, si unique ! Son reflet éblouissait un regard, celui de la féline, aujourd'hui enceinte."

L'avenir qu'il espérait, été beau et joyeux. Plein de rire et d'amour. Une famille va naître !

Revenant à lui, il se rapprocha encore plus du corps de la chatoune. Son coeur s'était emballé tout au long de son songe .... Sa tête se reposa sur son épaule.

Elle passa sa patoune dans les cheveux de son félin, son regard dans le sien.

Pendant longtemps ils avaient gardé le secret sur leur future petite famille et, alors que la date approchait à grands pas, ils avaient souhaité que leurs amis apprennent la bonne nouvelle. Les plus proches étaient déjà au courant, la tata avait été choisie et le cheval à bascule aussi. (^^)

La chatoune se leva, aidée par son fiancé.

« Chéri, tu me montres comment est la chambre de nos petits ? »

Il sourit, la prit par la patte et l’emmena à l’intérieur. Les pâtisseries continuaient à cuire.

Il ouvrit la porte de la chambre.

Comme c’était joli ! La féline n’en revenait pas !

Les murs étaient recouverts d’une fresque géante qui représentait un merveilleux paysage. De petits nuages souriants batifolaient dans le ciel sous le regard bienveillant d’un soleil aux allures d’un vieux bonhomme sympathique.

Un arc en ciel traversait les cieux, des Cockatrices picoraient en compagnie d’écureuils lions et de mignons petits moutons bleus et roses.

Au centre de la pièce, deux lits taillés dans du bois d’ent âgé. Le bois robuste et les couvertures de laine donnaient aux lits l’allure d’un cocon.

Un mobile tournoyait doucement au dessus de chaque lit et quelques jouets étaient disposés dans un coin de la chambre et sur des étagères.

Eblouie par le travail de son félin elle le serra contre elle et l’embrassa.

« Tu es un merveilleux papa ! Ou plutôt, le meilleur ! »

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Les câlins de la féline le réchauffèrent, l'odeur des pâtisseries arrivait jusque dans la chambre.

"C'est vrai que c'est lumineux et chaleureux. J'espère qu'ils s'y plairont"

Les félins se dirigèrent à nouveau vers la cuisine,

"Hmmmm, ça m'a l'air délicieux"

En déposant quelques baisers dans le cou de la féline, il caressa de sa pattoune son ventre qui arrivait à saturation. La date arrivait à une vitesse excitante.

"Plus que trois jours !!!"

Après avoir discuté sur les décorations de la chambre, les félins passèrent au souper, qui le faisait saliver.

Le félin mit le couvert pendant qu’elle sortait les plats du four.

C’était un repas tout simple, sans chichi et pourtant très appétissant!

Il y avait au menu des ailes de griffon blanc cuites avec des fruits d’ent, ce qui caramélisait la viande et donnait une petite saveur sucrée.

Avec ceci elle avait préparé des champignons clown sautés à la poele.

Pour le dessert, les patisseries.

Ils se mirent à table, deux petites chandelles brûlaient au centre.

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Un repas digne d'elle (*-*)

La nuit passa et emmena avec elle les deux félins dans de jolis rêves. Le lendemain matin, les deux amoureux restèrent aux lit. Entre tendresse et bisous le jour apparaissait.

La lumière pénétrée par le hublot de la chambre et venait frapper le lit.

Soudain, un bruit se fit entendre, le félin tendit l'oreille.

"Encore ?? Ils sont matinaux"

Le ventre de sa chattoune remué dans tous les sens, il réclamaient déjà à manger.
Ils aida sa féline à sortir de lit après lui et se dirigèrent tous les deux enlacés vers la cuisine.

Elle s’affala sur sa chaise, les cheveux hirsutes, les yeux pas vraiment ouverts. A peine éveillée elle était déjà épuisée contrairement à son félin qui s’activait aux fourneaux pour lui préparer un copieux petit déjeuner.

Il avait bien changé depuis leur première rencontre !

Qui aurait pu dire qu’il savait cuisiner ?

Pas lui en tout cas !

Un vrai papa poule et un fiancé formidable !

Les petits s’agitaient beaucoup ce matin là, la chatoune ne se sentait pas très bien mais le petit déjeuner lui redonna le sourire.

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Le dos tourné à son amour, il préparait quelques biscuits sec. Faisant du mieux qu'il pouvait il les apporta dans une assiette sur la table.

Il prit place en face d'elle, puis lui apporta un biscuit effrité sur le museau.

A la suite du déjeuner, les félins se renfermèrent chez eux, au calme. La chaleur du soleil frappait la petite baraque.
La température, ambiance réchauffait doucement le pelage des deux félins.

Finissant de nettoyer la table, le félin prit sa femme par la pattoune et ils se posèrent tous les deux dans le large canapé douillet, recouvert d'une douce doublure de laine.

Un jour comme les autres... Imagesca0cm0dnfa9

Le bonheur, et l'excitation de l'accouchement se lisaient sur le visage du félin

La matinée passa tranquillement.

La féline avait la tête posée sur les genoux de son chéri, il caressait ses cheveux en lui murmurant des mots doux à l’oreille.

A vrai dire, elle était plutôt anxieuse face à la naissance des petits qui arrivait à grands pas.

N’avaient ils pas agi sans réfléchir ? Mettre au monde des enfants n’était pas une chose anodine !

Ils étaient jeunes, pleins de vie, pleins de promesses pour le futur. Pourquoi fonder une famille aussi vite ? Un doute immense la submergea. Jamais elle n’avait côtoyé de bébés et encore moins des femmes ayant été enceinte!

Elle était dans le flou total et avançait dans l’inconnu.

Cependant elle ne marchait pas seule ! Elle plongea son regard dans celui de son bien aimé.

La créature malfaisante du doute déploya ses ailes et s’envola laissant sa place à la chaleur de l'espoir.

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Après une journée tranquille, mercredi paraissait encore loin. L'impatience se faisait sentir chez le félin.

Limitant les déplacements de sa féline, le chat s'était habitué à cuisiner de jolis plateaux repas.

Pendant qu'elle se reposait, il apportait les dernières touches dans la chambre.

Doucement le soleil rejoignait l'horizon. Chaque couché était d'une beauté remarquable.

Les derniers rayons de lumière s’étaient évanouis. La lune était ronde comme le ventre de la félys endormie. Son bien aimé vint la rejoindre et tous les deux enlacés ils se rejoignirent au pays des rêves.

Lorsque le soleil entama à nouveau sa course habituelle dans le ciel, quelques douleurs au ventre réveillèrent la féline.

Un peu nauséeuse, elle se leva péniblement pour prendre un verre d’eau. Passant devant la chambre des enfants, elle y jeta un coup d'oeil. Un petit coeur de lumiere brillait sur la moquette. Un signe du destin?

Le verre servi, elle le porta à ses lèvres et la sensation de frais apaisa son malaise.

Elle retourna dans le lit et observa son chaton qui dormait paisiblement.

Un faible rayon éclairait ses cheveux ébouriffés. Son visage avait ce petit quelque chose d’enfantin qu’elle adorait chez lui. Malgré son corps musclé, il semblait si fragile quand il dormait ...

Elle ne pu s’empêcher de déposer un baiser sur son museau et de prendre sa patte pour la caresser.

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Se sentant observé et manipulé, les gestes de sa chatoune le réveillèrent. L'esprit sommeillant, il dirigea son petit regard.

Câlinant sa féline, il s'approcha pour mouiller ses lèvres sur les siennes.

Sous la fatigue, il retomba lourdement dans le lit ... Zzz ...

Le lendemain, tout était calme et lumineux. Serait-ce parce qu'il s'agissait de la veille de l'accouchement ?
La matinée passa, le félin avait bien travaillé et rentra pour déguster un nouveau soupé.

Arrivant dans leur demeure, la féline toute ronde avait du mal à cuisiner dans risquer de brûler son gros ventre. Il arriva par derrière et l'aida dans la manipulation du fourneau.

Le couple, soudé et lié jusqu'a la mort était d'une extrême beauté !

Le jour tant attendu arriva !

La nuit avait été assez calme (enfin… si on veut ! )

La chatoune était encore au royaume des songes.

Un chatouillis à l’oreille la ramena sur Terre. Elle ouvrit les yeux et tomba nez à nez avec le coupable. Le félin semblait être réveillé depuis plusieurs heures, il était tout excité !
Elle se réfugia sous les couvertures, profitant du confort du lit douillet au maximum.
Il la rejoignit et ils chahutèrent jusqu’à ce que les félyssots se manifestent furieusement.

La chatoune stoppa net et s’allongea. La douleur passa mais une petite angoisse était là.

Elle prit la main de son amour.

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Main dans la main, les deux chats restèrent au lit, profitant du calme pour s'embrasser avant l'accouchement.

Le midi se passa sur la couette. Savourant le repas, la féline en oublia ses douleur.

Une sieste s'en suivit ...

Au reveil, le soleil entamé sa descente vers l'horizon quand soudain, le chatoune gémie !!!

" Infirmièrrrrre !!!"

Elle accourue devant la chatoune en sueur, les contractions avaient l'air de plus en plus régulière et douloureuse ...

Ils arrivaient…

L’infirmière s'affairait auprès de la future maman. Celle ci fermait les yeux et tentait de ne pas crier sa douleur.Le futur papa regardait la scène et en tremblait de tout son corps.
Se mettant dans la tête que ça n'était qu'un court moment douloureux avant une vie pleine de joie, son esprit devint un peu plus clair. Elle écoutait les recommandations de l'infirmière.Elle se positionna devant la chatoune en sueur, regardant les marmots venir, le chat fit un demi tour et posa ses mains sur son visage ...
La féline se tourna vers lui et lui prit une patte :

« J’ai besoin de toi amour.. »

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Le chat revint, se posa lourdement au sol, prit rapidement sa main et caressa son front de l'autre.
Un peu plus en paix, elle se mit à pousser de plus en plus en soufflant régulièrement.
L'infirmière l'encourageait. Un petit était déjà presque visible !
A cette annonce, le félin serra la main tremblotante et l'encouragea à son tour.

Dans un effort immense une petite tête pointa dehors et son corps suivit tranquillement. L’infirmiere prit la petite créature délicatement, coupa le cordon et alla laver le petit.
La féline pu se reposer le temps de faire tous les besoin nécessaire au premier petit, le papa avais hâte de tous les voir ... combien y en avait il ?
Elle voulait voir l'enfant mais un second petit désirait sortir.

« Pourvu qu'il n'y en est pas 10! » Se dit elle.

Le félin s'approcha de l'infirmière et lui demanda. 3 félins habitaient ca ventre depuis quelques semaines.

Le félin déposa un baiser sur sa courageuse femme.

« Aller mon cœur »

Le second sortit, l'infirmière recommença le rituel. Elle leur apprit que c'était une ravissante petite fille. La petiote rejoignit sa soeur dans le berceau. Tout le monde attendit l'arrivée du troisième.

Les deux petite filles étaient recouvertes d'une laine, les parents espéraient un garçon, un fort et beau. *-*

Le troisième bébé se faisait attendre.
Un ultime effort le libéra. La chatoune exténuée mais heureuse et soulagée se délassa complètement.

Sortant dans les bras de l'infirmière, le chaton soutenait la tête de son amour, si courageuse, si sublime.
Elle se redressa toutefois et demanda à l'infirmière:

« Les chatons! Où sont ils? Puis je les porter? »
« Ne bouge pas malheureuse ! »

Le félin se dirigea vers le berceau et prit son fils dans ses bras

« Tiens, maman est là »

Elle prit délicatement la tête du bambin... Si fragile! Elle était émue aux larmes.
Le félin sortit du berceau la jolie fille au visage si rond,
«tu ressembles à ta mère !»

Il laissa une larme envahir sa joue et prit le troisieme enfant.
Qu'elle était belle! Elle avait les yeux de son papa *-*
Pure beauté ! *-*
Les parents s'extasiaient devant leurs trois bambins mais la nuit était tombée et rendait l'air frais.

« Allons mettre nos bébé aux chaud. »

Elle tenta de se lever seule.
Le chat prit le fiston dans ses bras et l'emmena dans le berceau. l'infirmiere suivait avec les deux autres.
« prends ma main chérie, on rentre »

Elle s'accrocha à son épaule et dès que le lit fut à sa portée elle se jeta dessus, laissant son félys tout gérer.
Le félin porta le berceau et le déposa au pied du lit, les petits vont dormir avec nous. L'infirmiere s'en alla et promit de revenir le lendemain voir si tout allait bien.

Le félin se déshabilla et rejoignit sa femme *-*
Un des petits criait, il avait peut être faim .
C’était L’heure de la tétée !
Il apporta les bébés un par un dans lit douillet. Pendant que l'un tétait, le papa jouait avec les deux autres,

« ils sont si mignons ! »

Les jours passèrent tranquillement. L'été arrivant à grande allure. Et les marmots rendaient une touche de bonheur agréable.

Une certaine monotonie s'installait.

Les petits avaient bien grandi, d’ailleurs les félyssettes s’amusaient à taquiner leur petit frère et les parents s’émerveillaient toujours autant en les regardant évoluer.

Oryne avait les traits du visage de son père, en particulier les yeux aux iris bleu marine.
Sa sœur avait hérité du visage rond de sa mère. Ocaryne remarqua qu’elle avait la même couleur de cheveux que sa propre mère.
Quant au petit chaton, il avait l’air aussi robuste que le félin qui le berçait.

Par une belle journée baignée de soleil, la petite famille décida d’aller pique niquer au bord du lac. C’était la première fois que les petits sortaient prendre l’air ! Une grande aventure donc. Ils s’installèrent sous le grand chêne qui trônait sur la rive, majestueux. Quelques oiseaux piaillaient dans le feuillage de l’arbre, l’air était doux et les felyssots laissaient aller leur regard un peu partout.

Un joli papillon voletait au dessus d’eux puis il se posa sur le museau d’Orion. Le chaton ne bougeait plus et louchait sur la jolie créature.

Les parents rirent de bon cœur en voyant son air stupéfait.
Les deux ailes colorées se déployèrent enfin, le papillon s’envola vers d’autres horizons.

Nombre de messages : 51 Age : 33 Date d'inscription : 15/03/2008

Cette après-midi là, tout était beau. Les petits avaient profité du bon lait de leur mère, le félin aussi d'ailleurs. La saison était magnifique, les arbres gigantesques et plusieurs pique-niques s'organisaient lors des jours de repos. Ce qui devint rare ces temps ci.

Seul les enfants et les nuits agitées brisaient cette monotonie ...

Un bonheur inébranlable et persistant remplissait la petite famille.

Le soleil dispersait encore ses chauds rayons sur la terre et faisait miroiter la surface du lac. Le félin était toujours à son travail et la féline regardait ses enfants s’éclabousser ou bien lui ramener toutes les minutes un nouveau trésor sorti du fond des eaux. Elle ne manquait jamais de s’extasier face à leurs trouvailles.

Les bambins qu’elle portait ensemble dans ses bras il y a peu de temps, avaient grandi à une allure ! Oriane et Oryne prenaient un malin plaisir à taquiner leur frère… comme toujours ! Mais celui-ci avait appris à se défendre et répliquait assez bien. On aurait pu penser à de la méchanceté. Non, c’était loin de ça! Ils exprimaient seulement leur amour fraternel d’une drôle de manière!

Ocaryne, assise à coté d’un tas de « trésors », lisait un conte à ses deux filles. Elles adoraient les contes écrits par leur grand-mère ! Au bout d’un certain temps elle se rendit compte qu’Orion ne l’avait pas interrompue pour lui montrer un « zoli caillou qui ressemble à un oiseau ». Elle jeta un œil au lac et remarqua que les sandales de son petit n’étaient plus là. « Au moins il n’est pas dans l’eau ! » se dit elle.

La panique commençait tout de même à pointer sa tête hideuse. Elle regarda aux alentours… rien ! Les petites comprirent que leur mère n’était pas rassurée, celle-ci leur demanda si elles savaient où se cachait leur frère. Elles l’ignoraient. Elles explorèrent toute la prairie, en vain.

Sueurs froides, cœur qui bat, les yeux au bord des larmes.

« Chaton… j’ai besoin de toi ! »

Nombre de messages : 51 Age : 33 Date d'inscription : 15/03/2008

A son arrivée, rentrant du travail qui était toujours aussi fatigant. Les trois félines lui tombèrent dessus, painquées, effrayées.

Il isola sa chatoune pour arracher la vérité de ses lèvres.

"Comment ça disparu ? Mon fils ?!!"

Agitant la tête dans les airs et à l'horizon, le félin découvrit deux sihlouettes s'éloigner.

Prenant la main de sa chatoune, ils se lancèrent à la poursuite de ces mystérieux inconnus.

Nombre de messages : 51 Age : 33 Date d'inscription : 15/03/2008

Suite et fin :

Les deux tourtereaux, s'aimant du feu de Dieux avaient subi quelques boulversements ces temps ci.

Des tensions subsistaient dans la maison familiale...

Je vous quitte, cela est réfléchi et définitif. Suite au manque de considération envers les efforts apportés au Role Player, je n'ai pu garder mon sang froid contre la personne qui se reconnaitera.
Pour moi, ce genre de "rigolade" qualifiée d'insultes à mon égard est un affront et un geste vexant.

J'ai, dans un premier temps, répliqué sur cette personne. Malgré ce que tu peux penser, je ne visais pas ta vie privée même si tu en penses le contraire. Je pars en te donnant mes excuses sur ce propos déplacé, mais qui est mérité.

Je demande à tous les Maet de ne point prendre ce départ comme une trahison ou un départ en mauvais thermes. Je pars la conscience tranquille, l'ame amoureuse et fidèle en ma chatoune, Ocaryne, mon fils Orion, et mes deux filles.

Quand aux reste de mes amis, je ne coupe pas les ponts, et je vous apporterai de mes nouvelles assez régulièrement.
Bonne continuation chez les Maet.

Ocaryne, je t'aime.

Admin Nombre de messages : 252 Age : 40 Date d'inscription : 15/05/2007

Bon voyage, je n'ai pas critiqué le RP sinon j'aurai dit qu'il ecrit mal, ce qui n'a pas était le cas.

J'ai plaisenté en le traitant de lapin car ils avaient vite fait des bébés avant même d'être marié.

Il le prend comme il le veut, ça ne me touche pas du tout de son départ.

Désolé de parler ainsi. J'estime mon clan en tant que famille, chacun à du respect envers l'autre, à partir du moment ou un gamin de 16 ans viens me dire à moi agée de 25 ans, les choses de la vie. Et bien, je me dis qu'il se la joue bien.

A savoir que j'ai stoppé le contact avec Oro bien avant cette histoire de lapin, car il avait pissé sur Sverker (en action sur le mini de Sarwyen) et j'avais trouvé cet acte déplacé. Depuis ce jour, je ne parlais plus tellement avec Oro, seulement les sujets du clan.

Sujet que nous avions pas tellement abordé puisque dès qu'il y avait quelque chose à dire à son sujet, j'avais droit aux remarques d'Ocaryne, parce que je traitais oro de la meme facon que tout le monde. (Je fais référence au raid, j'estime qu'un raid se prépare sur le fofo et non sur la page du clan, ou cela va être effacé par les messages suivants). Dédé peut temoigner de cela. Mais bon, comme c'était Oro je devais lui donner un traitement de faveur.

Il y a eu une autre embrouille, il fut nommé par Ocaryne et tant que sous chef en même temps que d'autres membres, j'ai fait remarqué à Ocaryne qu'à l'epoque le nombre etait de beaucoup,et nous avions retiré les nommés.

Ici encore sa demande de sous chef pour moi etait injustifié, je ne voyais pas la sagesse ni le comportement apte à pouvoir gérer le clan en cas d'absence de notre part... Mais bien sur tout cela est mon jugement. Ne pas savoir faire face aux remarques et claqués la porte, ben c'est la puberté, voilà je vais pas relever ses paroles irrespectueux qu'il a eu à l'egard d'une personne superieur en age à lui...

Je suis vraiment navrée Ocaryne, je sais comment tu tiens à lui, mais j'aime mon clan par dessus tout. Et j'aime que les joueurs y soient bien, que l'ambiance tourne bien. C'est un jeu, rien qu'un jeu rien n'est réel...Alors faisons un maximum pour que cela se passe bien.

Et j'estime que couper le RP comme ça avec OCaryne n'est pas une chose à faire et ce servir de cette excuse pour s'en débarasser me rend encore plus malade.

Combien de perso vivent des histoires d'amour sans être dans le même clan, cela ne l'est empeche pas de RP ensemble.

Voilà aussi mon avis, et je n'ai pas peur de citer les noms car je me suis toujours montrée franche envers vous, et porte chaque personne dans mon coeur, DTC comme dirait certain